Catherine Ringer – Ring n’ Roll

Bonjour,

je crois que je sais finalement ce que je vais faire pour la journée du Femslash de juillet prochain. N’étant pas sûre de pouvoir me remettre à l’écriture, je pense que je vais tenter une traduction (puisque j’ai l’accord de plusieurs auteures pour plusieurs histoires). S’il y en a qui ont des idées, vous pouvez toujours mettre quelques prompts pour des micro-fics en commentaire, je verrai si ça m’inspire…

De plus, je sais que mon contrat de travail ne prendra vraiment fin qu’au 30 juin donc mon boss utilisera mes capacités jusqu’au bout. Les quelques collègues qui sont déjà au courant disent qu’il sentira vite sa douleur après ça, mais ce n’est plus mon problème. Le premier choc passé, la colère évacuée, je suis en train de tourner la page (même si je ne sais pas ce que l’avenir me réserve).

En attendant, j’écoute l’album que Catherine Ringer vient de sortir sous le titre Ring n’ Roll. Pour ceusses qui ne seraient pas au courant, Catherine Ringer est la moitié survivante du groupe Les Rita Mitsouko  et ceusses (pas les mêmes)  qui me suivent depuis le début de ce blog (plus de 5 ans déjà…) savent que j’aime beaucoup Les Rita Misouko.

En réfléchissant, je me dis qu’il y a toujours eu quelque chose de terriblement opératique dans les chansons des Rita et la façon qu’ils ont eu de les mettre en images dans leurs clips. Ecoutez vraiment les paroles derrières les rythmes entraînants et les couleurs vives ! Rien de vraiment festif, tout dans l’extrême…. Comme à l’opéra.

Trois ans et demi après la disparition de Fred Chichin, Catherine Ringer a presque entièrement écrit et composé cet album solo, Ring n’ Roll. Ce qu’il y a de fantastique, c’est qu’elle poursuive son propre parcours artistique, sans tomber dans le travers “gardienne du temple des Rita”. Donc s’il y a une certaine parenté avec les albums des Ritas (elle en était la voix et elle ne va pas changer d’univers musical d’un seul coups), il y a aussi une part de ce nouveau disque qui est uniquement elle, mais la personne de Fred Chichin est toujours là au détour d’une parole ou, au contraire, au cœur d’une chanson.  J’avoue que j’ai beau réécouter le titre “Mahler” écrit sur l’adagietto de la Symphonie N° 5 de Gustav M., celui-ci me porte au bord des larmes à chaque fois (jusqu’à présent, si je ne me trompe pas, il n’y avait que “Les Roses Blanches” qui pouvaient me faire pleurer).

La vidéo qui suit a été enregistrée en Avril 2009. C’est un document intéressant car  la version finale de la chanson est légèrement différente (le 1er couplet de 2009 a disparu, le 3ème couplet de 2009 est devenu le 1er couplet de 2011…)

Catherine Ringer : Pardon – Vidéo de candyraton2

Bon…. vous savez ce qu’il vous reste à faire ? 😀

That’s all, Folks !

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